Constats !
Les chasseurs ont trop de droits.
Parce que la faune sauvage n’est à personne, les chasseurs se la sont appropriées.
Sans opposition, la législation ne permet pas de contester leur gestion égocentriste de la faune et de la nature.
La loi interdit même de s’opposer au plaisir de tuer jusque dans votre jardin !
C’est de pire en pire
Parce que l’état refuse d’autres gestions que la chasse, pour protéger les intérêts agro-sylvo-pastoral écologiquement et durablement.
Détruire la biodiversité pour conquérir des terres, aux dépens de la faune originelle, les rendent stériles.
La chasse tue,
Parce que les chasseurs aiment tuer et que le législateur leur en donne le droit, jusque chez vous, dans le bac à sable de vos enfants.
Les ministres qui ont favorisé les « accidents » cynégétiques devraient être responsables de ces cynégécides.
La biodiversité disparaît
Parce que l’équilibre agro-sylvo-pastoral et cynégétique ne protège que les intérêts économiques égoïstes des protagonistes, mais pas la vraie biodiversité naturelle.
Les chasseurs avouent qu’ils ne favorisent que la biodiversité cynégétique limitée au seul gibier.
Remèdes !
Retrouver nos droits
Le législateur ne retirera pas de droits aux chasseurs. Même les plus iniques. Au contraire, il en rajoute à chaque plainte contre eux.
Le plaisir de tuer ne sera jamais aboli. Il faut lutter pour rétablir le droit de vivre avec la biodiversité.
Ce sera « moins pire »
Comme pour le réchauffement climatique, les politiques s’informent auprès de ceux qu’ils pensent compétents, alors qu’ils ne sont que mercantile.
En absence d’antithèse, ils savent ce qu’on leur dit, mais ne comprennent pas qu’on leur ment.
Halte aux cynégécides
En responsabilisant les responsables des homicides de chasse, par leurs législations politiciennes.
En requalifiant les accidents suspects, pour enquêter sur les menaces avec armes.
En adoptant des protections comme pour tous les autres sports de tirs à la carabine.
Réensauvager la France
En retirant la gestion de la biodiversité aux chasseurs !
On ne peut vouloir plein de gibier-cibles artificiels,
pas de prédateurs naturels concurrents et prétendre défendre la diversité naturelle de la faune sauvage.
Conclusions !
Il n’est pas réaliste de demander aux chasseurs de réduire volontairement,
les privilèges et passe-droits qu’ils ont acquis depuis la révolution.
Le législateur, presque unanimement pro chasse, ne les y contraindra pas non plus.
Le seul moyen de réduire, un peu, les nuisances cynégétiques, est de soutenir une association concurrente, d’usagers de la faune sauvage.
L’association rétablira les droits de tous ceux qui veulent profiter ou pratiquer leur loisir dans une nature vivante.
La faune dite nuisible, ne nuisant qu’aux chasseurs, supprimer la chasse, supprimera la nuisance. En France, on pourrait confier la régulation, indispensable, aux militaires.
Ils seraient bien plus efficaces et désintéressés,
et n’ont pas le conflit d’intérêts, d’avoir de nombreux gibiers à limiter !