Le think-tank est un groupe de réflexion ou laboratoire d’idées. Il remplace avantageusement un lobbyiste comme celui des chasseurs : Thierry Coste.
Il formule une expertise pour traiter de la législation de la chasse, qui allie les aspects constitutionnels et politiques aux aspects environnementaux de la biodiversité.
Actuellement, la réflexion en amont des décisions politiques est souvent partisane et très insuffisante au regard des enjeux démocratiques et environnementaux.
Le système d’élection des sénateurs par de grands électeurs favorise les institutions établies et freine toute évolution sociétale. Les chasseurs y sont représentés à 80 % et il n’existe aucun opposant à la chasse. C’est la proportion inverse de ce qui existe dans la société civile qu’ils sont censés représenter.
Si aucune décision défavorable à la chasse ne peut y être proposée, il leur sera difficile de refuser une égalité législative après les reproches de favoritisme faite à une députée.
Le think-tank proposera le vote d’un droit d’Eden lié à la propriété afin de rétablir, sans contrainte ni menaces, le droit de choisir librement l’observation de la vie sauvage, au lieu de son exploitation meurtrière.
Les membres du Think-tank sont des personnes compétentes impliquées dans la lutte contre la discrimination des non-chasseurs et pour le rétablissement du droit de profiter de la nature sans l’exploiter, ou l’artificialiser.