Pour le patron des chasseurs, W. Shraen, il y aurait moins d’accidents de chasse si la presse n’en parlait pas !
Après avoir suggéré à ses adhérents de « cynégécider » les opposants à la chasse et traité le conseil d’État de bande d’emmerdeurs, le patron des chasseurs s’attaque maintenant au dernier pouvoir qui ose lui résister : « la presse libre ».
Le gouvernement, lui, lui a déjà prêté allégeance
Il n’y aura bientôt plus que les réseaux sociaux, pour médiatiser les cynégécides, et limiter les nuisances de l’organisation mafieuse.