Lexique
Snipersdimages le site de ceux qui n’aiment pas tuer.
Ils ne chassent pas, ils SNIPEnt
Ce ne sont pas des chasseuses, ce sont des SNIPEUSEs
Ce ne sont pas des chasseurs, ce sont des SNIPEURs
Ils ne vont pas à la chasse, ils vont à la SNIPE.
Ils ne représentent pas, légalement, la faune sauvage,
Ils représentent, politiquement, ceux qui l’admirent.
La Snipe …
… La furtivité, l’empathie, les souvenirs et
tout le plaisir d’être en harmonie avec un instant de vie sauvage.
Sans haine, sans tuer, sans exploiter.
Les Snipeuses et Snipeurs …
… Sont des associations ou des particuliers qui souhaitent profiter de la cohabitation avec la faune naturelle, pour l’observer lors de leurs activités de pleine nature ou chez eux.
Ils s’intéressent à la faune, mais n’aiment pas tuer.
Ce sont des chasseurs qui ne chassent pas.
(Comme dans la pub. Cynégétique à la télé)

1) Origine
L’observation et l’immortalisation de scènes de vie sauvage existent depuis que l’homme a peint les murs des cavernes. Elles font partie de nombreuses pratiques religieuses, et la psychologie moderne reconnaît leur importance pour l’équilibre personnel et social.
Le plaisir de tuer ne devrait plus être encouragé dans une société évoluée.
Les intérêts des snipis sont politiquement méprisés et restreints par une législation partisane. La création d’une association est devenue indispensable pour faire valoir le droit naturel et inaliénable d’aimer la vie de notre planète Terre.
C’est un art de vivre plus respectable que celui qui joue à la guerre contre un ennemi imaginaire et inoffensif, et qui a remplacé la chasse alimentaire. Si tuer pour survivre peut-être compréhensible, tuer par plaisir et élever des animaux dans le seul but de servir de cibles devrait être interdit dans une civilisation évoluée.
2) Qui sont ils ?
Les Snipersdimages ou Snipeurs sont des observateurs furtifs de la faune sauvage. Ils se fondent dans l’environnement pour approcher et observer des instants de vies.
Souvent, ils immortalisent et partagent leurs observations.
Cette activité est incompatible avec la chasse, qui terrorise la faune et met gravement en danger la vie des snipeurs camouflés dans le biotope fréquenté par la faune sauvage.



3) Pourquoi ce nom ?
À l’origine, SNIPERSDIMAGES vient de techniques de furtivité des snipers militaires, (les ghillies) que des photographes utilisent pour approcher les animaux. Le nom, au pluriel, rappelle qu’il s’agit d’une communauté qui partage les mêmes valeurs.
Les IMAGES, des instants de vies qu’ils enregistrent, peuvent être visuelles, sonores, virtuelles ou n’être que de simples souvenirs.
Le nom trop martial, est abrégé en “SNIPE”. Il permet de nommer cette activité sans références cynégétiques.
Une pointe d’humour, pour être reconnu par la science et l’église …
La Skoposathanatos est la science des snipersdimages, du grec ancien skopós observateur et athanatízō (ἀθανατίζω) immortaliser. C’est une branche de l’éthologie.
Les snipeurs(euses) sont des éthologues, amateur, de terrains
Le saint patron des snipeurs est évidemment saint François d’Assise.
Note : Au cinéma et dans les jeux vidéo, les snipers militaires sont souvent confondus avec des tireurs d’élite. Normalement, les snipers ne tirent jamais, pour ne pas être repérés et perdre leur statut d’observateur.
4) Est-ce légal ?
La législation n’est pas compétente pour défendre une faune sauvage qui n’appartient à personne (res nullius). Le droit ne protège que les intérêts des personnes, donc des chasseurs, pour ce qui concerne la faune sauvage, puisqu’ils sont les seuls agréés.
Elle devrait aussi rétablir les droits des personnes qui ne veulent pas exploiter ou détruire la nature, mais l’admirer. Ce sont d’autres usagers parfaitement légitimes.
La SNIPE est une activité légitime et utile pour comprendre et apprécier les autres formes de vies terrestres. Elle recherche une gestion moins prédatrice de la vie.


5) Est-ce dogmatique ou scientifique ?
Notre relation à la faune ne peut plus être prédatrice, nous sommes bien trop dangereux et nombreux. De nombreuses espèces ont définitivement disparu et les autres sont dans un tel état que les chasseurs les reproduisent artificiellement en batterie. La chasse est devenue un élevage de cibles vivantes
La viande de gibier est intraçable et pleine de plombs car le gibier est rarement tué par le premier tir.
L’élevage de gibier est un oxymoron administratif.
Notre évolution et les connaissances scientifiques nous rendent également responsable de notre comportement vis à vis de la faune sauvage. On sait maintenant que ce n’est pas qu’une “chose” sans conscience, comme la définit encore le législateur, pour qui un animal ne devient sensible, que lorsqu’il est domestiqué !
Chaque jour, l’éthologie découvre que les animaux ont des aptitudes cognitives proches des humains. Ce qui était, depuis longtemps, une évidence pour les naturalistes, puisque l’on partage la même planète et la même évolution.
Même si les chasseurs font du prosélytisme dans les écoles, il devient difficile d’adhérer aux dogmes cynégétiques, car les naturalistes scientifiques diffusent des documentaires qui contredisent les discours panégyriques de l’état et ses médias.
6) Est-ce traditionnel ?
Les peintures rupestres témoignent que l’immortalisation des scènes de vies sauvages se pratique depuis le début de l’humanité. Cette passion naturaliste & artistique se perpétue dans tous les arts au fil des millénaires, jusqu’à nos jours. Aujourd’hui, souvent dans la photo et les films animaliers.


7) Est ce économiquement viable ?
Tous les usagers de la nature devraient pouvoir profiter gratuitement de l’environnement. Mais il est probable, que l’économie des snipersdimages soit plus importante que celle de la chasse. Elle profite déjà au plus grand nombre par les livres, les expositions, les films et autres médias télévisés, comme le montre le succès des films animaliers.
C’est une économie durable. Elle ne détruit pas ce qu’elle exploite.
Ce n’est pas une économie prédatrice, comme la chasse et d’autres activités commerciales
Lorsque l’association atteindra le million d’adhérents, nous réclamerons les mêmes aides d’état que celles des chasseurs :
- Abondement de 100 % de la cotisation,
- formation gratuite,
- subvention de quelques dizaines de millions d’euros,
- multiplication par 45.000 de la subvention, etc.
- Une association comme l’ASPAS prouve que la renaturation répond à un besoin sociétal économiquement viable.
8) Quel rapport avec la chasse ?
Snipersdimages est une opposition politique, une autre philosophie ou une alternative religieuse à la chasse. L’association conteste l’hégémonie politique et judiciaire de la chasse et la gestion exclusivement cynégétique de la faune sauvage.
L’activité des snipersdimages est définitivement incompatible avec la chasse, parce que :
- Elle dérange et terrorise durablement la faune.
- La chasse est un risque létal évident pour les snipersdimages camouflés dans le biotope du gibier.
- Les chasseurs gèrent la faune pour uniquement pour favoriser leur plaisir de tuer. Le gibier est élevé en batterie et les prédateurs sont exterminés.
- L’état a écrit une législation pour protéger les chasseurs, et méprise les autres usagers de la nature.
http://www.senat.fr/rap/r21-882/r21-882_mono.html#toc161


Ces animaux sont des robots équipés de caméra.
9) Quelles sont les techniques utilisées ?
Les techniques et le matériel de chasse manquent trop de discrétion pour être utilisés. ( Chiens hystériques, corne de brume, camouflage fluorescent, armes à feu … ) On ne peut pas nous confondre !
Les snipersdimages utilisent plutôt les techniques de furtivité et d’observations des militaires.
Les drones et les technologies robotiques et animatroniques sont aussi de plus en plus utilisées pour les animaux très sensibles ou les biotopes inaccessibles.
L’immortalisation se fait en photos, vidéos, dessins, peintures, livres, BD, sons … ou en simples souvenirs. Toutes les techniques non intrusives peuvent être utilisées pour immortaliser un instant de vie sauvage, mais jamais au détriment de la faune et de l’environnement. La
Nous soutenir ?
L’association Snipersdimages rétablira le droit pour tous, d’observer la faune sauvage et sa biodiversité, elle luttera contre les privilèges cynégétiques et les discriminations législatives qui entravent ce droit. Propriétaires terriens et usagers de la nature doivent pouvoir choisir librement, comment ils souhaitent profiter de la faune locale. Soit en l’observant et en la regardant vivre, soit en la pourchassant pour la massacrer.
La faune sauvage, res_nullius, n’appartient à personne, mais nous en faisons partis. Sa gestion ne doit plus être monopolisée par les intérêts égoïstes, et meurtriers, de quelques-uns.

L’association
Objectifs
L’objectif de l’association est de concurrencer politiquement et légalement ou de remplacer la “chasse”, par une activité moins autistique, plus respectueuse de la nature, de la faune et des autres usagers.
PS : La chasse alimentaire de nos romans de terroir est devenue un jeu de guerre contre la faune sauvage ou du tir sur cibles vivantes.
Les chasseurs jouent à la guerre contre des ennemis imaginaires et inoffensifs et e ramassent même plus leur victime. La viande de gibier est impropre à la consommation.
Les Projets
La priorité est à la réforme de la législation pour rétablir un minimum de justice environnementale par :
- La pluralité des droits d’usage de la faune et de son environnement. (chasse > snipe)
- L’élargissement des privilèges cynégétiques aux autres usages concernés. (droit de suite > droit d’observer)
- L’éradication de règles iniques qui n’aurait jamais dû exister dans une vrais démocratie. (droit de chasse > droit d’Eden).
La vulgarisation de la snipe se fera en :
- Rédigeant collectivement une encyclopédie de l’éthologie de la faune sauvage, des techniques d’observation et d’immortalisation.
- Créant des associations dans chaque commune pour remplacer les chasseurs.
- Réclamant les aides et subventions la chasse.
Concrètement
- Création d’un droit d’Eden attaché au terrain : Ce droit équivalent au droit de chasse s’oppose à celui-ci. Les propriétaires auront le choix entre le droit de tuer ou le droit d’observer la faune qui se réfugie sur leur terrain. Le droit d’EDEN permet d’éradiquer la discrimination, les menaces et les sanctions qui touche ceux qui refusent la chasse chez eux.
- Chasser, détruire ou tuer ne doit plus être la norme d’usage de la faune sauvage. La faune est un patrimoine naturel. Personne ne devrait être poussé à le détruire.
- Les chasseurs affirment que les battues administratives ne sont pas de la chasse. Les massacres ont prouvé leur inefficacité pour réguler une population. Les battues ne doivent être décidées qu’en urgence et confiées à un service public compétent et surtout désintéressé par un nombre important de proies. C’est le rôle de l’armée ou de la gendarmerie, pas celui d’amateurs aux intérêts opposés à la mission de service public qui leur a été confiée.
J’ai fait un rêve.
C’est le rêve que fait l’humanité depuis qu’elle s’est lancée dans l’aventure technologique. Celui de vivre avec la nature, pas contre elle. On sait que nous perdrons puisque nous en faisons partie. Si notre ignorance nous a conduits à une catastrophe climatique mondiale, on sait déjà que la prochaine catastrophe sera la destruction de la biodiversité. La gestion guerrière des humains contre la faune sauvage est un suicide. Nous faisons partie de la biodiversité, mais nous sommes responsables de son déséquilibre.
À la fin d’une vie ou d’une civilisation, les populations n’espèrent plus gagner la compétition pour devenir maîtres du monde, elles ne veulent que vivre heureuse et en paix leurs derniers instants.
La croissance exponentielle de la population mondiale est indispensable à notre économie. Cette croissance exponentielle aura une fin d’autant plus brutale qu’elle aura durée longtemps. Notre modèle économique devrait s’y adapter pour ne pas disparaître et nous avec.
Les restrictions que l’on nous demande seront sans doute bientôt obligatoires.
Contrairement à ce que prétendent certains démographes, 8 milliards d’humains ne peuvent pas vivre sur terre, ils ne peuvent que survivre encore quelque temps avant la catastrophe finale.
Le nombre naturel d’humains est dépassé le jour ou ils sont obligés de construire un système artificiel d’épuration des eaux. Dès lors, la nature ne peut plus recycler indéfiniment les déchets organiques, il y a déséquilibre. Aucun animal n’intervient à la place des cycles biologiques. C’est de l’acharnement thérapeutique.
Nuisibles ESOD
La notion d’espèces susceptibles d’occasionner des dégâts, (ESOD) sera précisée pour savoir à qui elle pourrait porter préjudice et à qui elle bénéficie. Il sera alors possible de trouver d’autres solutions que son éradication. Une espèce nuisible pour les uns est souvent utile pour les autres et toujours utile à la biodiversité, puisque c’est elle qui l’a créée. Sinon elle n’existerait ou s’autodétruirait (comme qui vous savez !).